Découvrez mon livre « Techniques et astuces incontournables des réseaux sociaux »

C’est avec un immense plaisir que je vous annonce la publication de mon deuxième livre consacré aux réseaux sociaux. Voici la présentation de l’ouvrage, qui je l’espère vous plaira !

réseaux sociaux livreTechniques et astuces incontournables des réseaux sociaux

Attirer de nouveaux clients, augmenter sa notoriété, trouver de nouveaux partenaires…

Les réseaux sociaux sont l’affaire de tous, plus seulement des community managers.

La plupart des entreprises, associations et de nombreux particuliers les gèrent d’ailleurs eux-mêmes, faute de moyens pour faire appel à un professionnel.

Tous ces acteurs ont pleinement conscience du potentiel énorme des réseaux sociaux, pour attirer de nouveaux clients, augmenter leur notoriété ou trouver de nouveaux partenaires.

Vous êtes une TPE/PME, une association ou un blogueur ? Vous êtes étudiant, responsable communication, community manager professionnel ? Les réseaux sociaux sont essentiels pour développer votre activité ?

Alors ce livre vous est destiné !

Illustré d’exemples concrets, il propose une réflexion et des conseils approfondis pour vous approprier et mieux utiliser ces outils numériques.

Vous découvrirez les techniques utilisées par les professionnels de la communication digitale, toutes applicables, quels que soient votre niveau et vos objectifs.

Une véritable boussole pour mieux communiquer sur les réseaux sociaux et dynamiser votre activité !

Vous pouvez commander l’ouvrage sur Amazon.

Sommaire

  • Conseils généraux qui s’appliquent à tous les réseaux sociaux
  • Réussir sur Facebook
  • Réussir sur Twitter
  • Réussir sur Instagram
  • Réussir sur Pinterest
  • Réussir sur LinkedIn
  • Les réseaux sociaux lors d’un événement

Extrait n°1

Maîtrisez la grammaire des réseaux sociaux

Savoir bien écrire sur les réseaux sociaux est une chose, en maîtriser la grammaire spécifique en est une autre. En effet, entre les emojis, les hashtags et les memes, de nombreux éléments nouveaux sont apparus et constituent presque un langage à part.

Beaucoup ou peu de hashtags ?

Le hashtag est un mot clé qui facilite la recherche de l’internaute. Popularisé avec Twitter, il est entré dans la grammaire des réseaux sociaux, sans pour autant que l’on sache vraiment comment l’utiliser. Par exemple, faut-il en placer peu ou beaucoup ? Tout dépend en réalité du réseau social.

Sur Twitter : les études que j’ai consultées indiquent qu’au-delà de trois hashtags, l’engagement diminue. Cela est logique : voir de nombreux # sur un message court rend la lecture pénible. Mais ce qui est vraiment désagréable, ce sont les hashtags utilisés de façon absurde : le hashtag sert à contextualiser votre message et à mettre en valeur ses thèmes principaux. Ne l’utilisez que pour cela. Exemple : « Sur mon blog, petit test du nouvel Iphone, à qui je fais subir des choses plutôt surprenantes… ». Placer un hashtag devant Iphone est logique, à la rigueur devant test et blog. Mais c’est tout. On comprend mieux pourquoi plus de 3 hashtags est mauvais : car cela n’a aucun sens d’écrire #petit et #choses !

Sur Instagram : la logique est ici différente, car sur Instagram le hashtag est un élément essentiel pour rendre son message visible. Encore plus que sur Twitter, car aucun mécanisme de partage n’existe sur Instagram. Vous allez donc essayer de capter l’attention de non-followers par ces fameux hashtags. Soyez donc généreux, et n’hésitez pas à en utiliser plus de 10. Pour ne pas gêner la lecture, placez tous vos hashtags à la fin du message, en sautant des lignes.

Sur Facebook : inutile d’utiliser les hashtags, du moins pour l’instant. Personne ne fait de recherche via les hashtags sur ce réseau, et certaines études montrent même qu’ils ont un impact négatif sur la popularité du message. Sans doute car les utilisateurs de Facebook n’en ont pas l’habitude, et que le # dégrade la qualité de lecture, sans rien apporter en échange.

Sur Pinterest : quelques hashtags suffisent, en ciblant bien les mots essentiels et recherchés par les internautes.

 

Extrait n°2

Le ciblage, la clé du succès

Si au début de ce livre je vous conseillais de bien identifier vos cibles, et même de créer des personas, ce n’est pas par hasard. Toute la difficulté sur Facebook est en effet d’attirer sur vos pages les bonnes personnes. En effet, sur Facebook, la qualité est toujours préférable à la quantité, et les community managers professionnels l’ont bien compris. À quoi sert une cohorte de fans si l’engagement est faible ?

Il faut donc d’abord chercher à obtenir des fans qui correspondent à votre cible : ils liront vos messages, interagiront, cliqueront sur vos liens et pourquoi pas achèteront vos produits.

Vos messages Facebook n’intéressent pas tout le monde ? Ciblez-les !

Sur Facebook, votre communauté ne forme pas un tout homogène. S’il existe forcément un centre d’intérêt commun, les différences, en particulier géographiques, font que vos publications peuvent ne concerner qu’une petite partie de votre communauté.

Imaginez : vous annoncez sur Facebook un concert à Lyon. Pensez-vous vraiment que vos fans normands, voire francophones canadiens, vont s’y intéresser ? Et qui dit faible intérêt, dit peu d’interactions, et donc une portée médiocre. Y compris pour les Lyonnais qui sont concernés au premier chef ! Pire, les personnes non concernées pourraient masquer vos publications ou ne plus liker la page, en particulier si ces messages marqués géographiquement reviennent souvent.

Comment résoudre ce problème ? En utilisant l’outil de ciblage proposé par Facebook lors de la publication des messages. Il s’agit de la petite icône en forme de cible, juste en dessous de votre message. Là, vous pourrez définir avec précision les critères géographiques, mais aussi d’âge, de sexe, de langue et de centres d’intérêt.

Vous le voyez, les possibilités ne s’arrêtent pas à la ville de vos lecteurs ! À vous d’utiliser au mieux cet outil en fonction de vos objectifs, des idées intéressantes peuvent même émerger : pourquoi ne pas proposer deux messages différents, un pour les hommes, un autre pour les femmes, au moment de la Saint-Valentin ? Une approche originale, surtout si vous précisez dans votre message que seuls les hommes/les femmes verront ce message. On peut alors jouer sur l’effet de surprise pour l’autre moitié de la communauté…

Comment faire pour cibler vos messages ?

D’abord, rendez-vous dans les paramètres de votre page. Dans l’onglet général (celui par défaut), allez dans « Audience du fil d’actualité » et « Visibilité des publications ». Cliquez sur « Activer ».

Puis lancez-vous dans la rédaction d’un nouveau message sur votre page. Vous avez désormais une petite icône en forme de cible. Cliquez dessus. Il ne vous reste plus qu’à déterminer les critères de ciblage, que vous devez définir sur mesure en fonction de la nature de votre message.
Si la question du ciblage est récurrente, envisagez d’adapter plus sérieusement votre stratégie social média. Je pense par exemple aux éditions locales des journaux, qui ont souvent une page Facebook spécifique. Et cette nécessaire adaptation vaut aussi pour la langue.

Adaptez la langue de vos messages à vos cibles en fonction de la langue

Vous devez adapter votre texte à vos cibles et à votre communauté, et ce principe de base de la communication inclut la langue de votre interlocuteur : si vos produits touchent un marché international, alors vos messages doivent être dans la bonne langue.
Je remarque souvent une erreur sur Facebook : sur le même message, l’entreprise publie au début en français, puis, ensuite la traduction en anglais. C’est une mauvaise pratique car il est peu probable que les anglophones remarquent que la suite du message leur est destinée. Et cela ne fait pas très pro.

Utilisez plutôt la fonctionnalité Facebook qui permet de publier dans plusieurs langues. Elle est parfaite, car l’internaute verra directement le message dans sa langue, en fonction de la langue dans laquelle il a configuré Facebook.

Première étape : allez sur votre page, puis dans « Paramètre », et enfin « Général » (la catégorie par défaut, ça tombe bien). Puis allez dans « Publier en plusieurs langues », et activez cette option. Facile non ?

Deuxième étape : au moment de publier votre message, vous pouvez modifier la langue par défaut, et surtout ajouter une ou plusieurs autres langues, en cliquant sur « Langue » juste en-dessus de votre message. Les internautes verront s’afficher directement le bon message, selon leur configuration de Facebook.

Petit retour d’expérience : s’il est très tentant de publier des messages dans de nombreuses langues, cela peut vite poser un problème dans les interactions. Vous avez fait traduire en allemand votre publication, mais des réponses en allemand arrivent et comme vous ne parlez pas un mot de cette langue vous allez vous battre avec Google translator pour y répondre. Et encore, j’ai pris l’exemple de l’allemand qui n’est pas le plus compliqué. Imaginez un peu si vous avez tenté le japonais pour toucher de nouveaux marchés, bon courage…

Au pire, un message en anglais a de fortes chances d’être compris par un très grand nombre de personnes sans vous mettre dans ces situations compliquées. Sauf si vous avez à votre disposition une armée de traducteurs, misez donc surtout sur l’anglais. Car sur les réseaux sociaux, il ne s’agit pas seulement de publier des messages, mais surtout d’interagir avec vos lecteurs.

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